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le Kap Délices

Cette semaine, c’est au Kap Délices que revient l’immense honneur de passer au crible du « Kap ou pas kap ». Ce kot-à-projet faisant la promotion de la « bonne bouffe » sur le campus, siège au-dessus de la Crêperie Bretonne (ça ne s’invente pas !). C’est dans une ambiance toute posée, entrain de cuisiner (of course) qu’ils m’ont accueilli en ce soir de la S9 pour balancer les pires et les meilleures sur leurs cokoteurs. Voyez plutôt…

Avant de passer à la partie la plus croustillante de cet article, commençons par parler un peu de leur projet. Et quel projet ! Il faut dire qu’à ce niveau, ça tourne à du 1000 km/h. Entre les buffets à thèmes, les cours de cuisine, la location du matos et même leur service en tant que cuistots, cette équipe énergique vous en fera goûter de toutes les saveurs. Avant chaque événement, ils expérimentent de nouvelles recettes afin de combler les palais les plus exigeants. Les places pour les buffets partent d’ailleurs comme des petits pains !

 

À côté de ça, le Kap Délices c’est un peu une grande famille qui s’avère également être d’excellents voisins sachant manier un tout autre art que celui de la cuisine avec le Kot Ardoise et l’Artisakot ;-). Ne nions pas que ces épicuriens aiment se faire plaisir !

 

C’est marmiton.org qui donne le rythme à ce kot situé sur la Place des Brabançons. Le couloir est envahi par de moult bric-à-brac de cuisine : appareils à raclette, taques électriques, caquelons à fondue, etc. Autant dire que c’est le souk ! On ne compte plus toutes les catastrophes : un trou dans le sol, plus de lumière dans le commu, une chambre inondée, un lave-vaisselle cassé…. Quoi ? Vous avez dit lave-vaisselle ?!

 

Même si parfois il y a des petits coups de mou comme au 24h, où ils ont bouffés des « Party Mix » et des frites TOUTE la semaine (une HOOONTE !!), ces neuf cordons bleus aiment se faire des bons petits plats. Et si la vengeance est un plat qui se mange froid, certains du kot ne risquent plus de manger chaud pendant un bout de temps vu comment ça a balancé sec.

 

Commençons en tout bien tout honneur par Tiphanie, dit « Titi ». C’est la présidente du kot, elle serait, selon ses cokoteurs, une très bonne organisatrice. Cette Nivelloise de 3e droit, cumule les postes vu qu’elle est également la maman du kot. Une maman… mais un peu commère, qui radote (et coquine, me dit-on !). Messieurs, soyez déçus car la pétillante blonde du Kap Délice, n’est plus un cœur à prendre. Ah quand le CI passe… une célibataire trépasse !  

 

Passons maintenant à l’autre commère du kot, au caractère bien trempé, j’appelle Mérone (Mémé). Je l’ai surprise en train de manger le Nutella de Marty à la petite cuillère (paaas biiiiien). C’est une chose qui selon elle, n’arrive jamais (hum…). Cette étudiante en droit a passé treize heures chez le coiffeur pour faire ses belles petites tresses. Une technique infaillible pour ramener parait-il. Jamais ses cokoteurs n’ont vu Mémé en train de subir sa vie à cause d’une cuite et en sont bien déçus ! Mais l’année n’est pas finie et réserve quelques surprises... Sinon, sa voiture nommée « Dame Nature » (allez savoir pourquoi...) sauve le kot en temps de crise quand il faut allez faire des courses au Colruyt.

 

Simon, chef pi avec Mémé, est le doyen (comprenez, le plus vieux) du kot, du haut de son master en bio. D’ailleurs, il glande sa vie parait-il et devrait vraiment bosser son mémoire. A côté de ça, c’est le « saucier » attitré du Kap Délices, qui gère la sauce blanche et qui est toujours là pour filer un coup de main. Champion au quizz musical, ce n’est pas le cas en matière de cheveux, qui ont souvent un look de graisse de friture, mais passons ! Amateur de femmes-cougars, c’est aussi un féru de badminton.

 

Alex, alias « con à merde », est un con qui fait que de la merde, logique. Il s’amuse à coller des boulettes de viande sur toutes les clenches du kot ou encore à brancher la friteuse dans la chambre de Gaga. Il adore hacké les pc ou foutre le souk dans les autres chambres. Bref, c’est le cokoteur idéal ! Ce fana de concours, multiplie les comptes facebook (pour mieux gagner). Il n’hésite d’ailleurs pas à poser des lapins devant la casa grâce à ses faux comptes. Avec son « accent » de lièèèèche, il n’improvise pas chanteur mais bien Dj pour mettre le feu au dancefloor at Kap Délices.  

 

Paul, c’est un peu le « français » du kot. Fier de sa mère patrie, portant avec joie son béret, vous trouverez dans sa chambre une belle carte de la France… mais Paul n’est pas un métropolitain, il est réunionnais ! Ce que ce luxo d’adoption aime par-dessus tout c’est jouer à Age of Empire avec son pote Miguel avec qui il mène une « relation » mystérieuse aux yeux de ses cokoteurs. Polo c’est aussi un bon vivant qui sait s’amuser mais qui parfois n’arrive pas jusqu’au bout (cf. Rallye Chambre). Amateur de basket et passionné d’histoire, c’est l’homme aux deux casquettes. 

 

Passons à Martin, Marty, « Black Marty ». Cet étudiant, 3e bac ingé gestion, rêve de devenir président de l’Organe. Pour la petite histoire, il s’est d’ailleurs levé à 6h, le lendemain des 24h pour aller les aider à ranger. Le dit « ado » du kot est néanmoins indispensable en sa qualité d’inspecteur des travaux finis et de réparateur du lave-vaisselle. Oui, au Kap Délices, on ne rigole pas avec la vaisselle !

 

Gaëlle, dit Gaga, est la trésorière du kot, qui fait vraiment « très très très bien » son boulot. Son petit côté naïf enchante ses cokoteurs qui adorent la charrier en lui faisant croire tout et n’importe quoi. La Bruxelloise traine souvent (voire très souvent) du côté des Bruyères où son bien-aimé du Supportkot réside. Toujours hyperactive à courir partout, elle peut s’avérer être pleine de bonnes intentions comme la fois où elle a préparé des cupcakes pour tout l’monde.

 

Jéjé (Jérôme), est le type « peace » du kot. Plutôt du genre discret, il se donne à mort dans le projet, toujours là pour mettre la main à la pâte. Normal après tout, c’est un intendant de choc ! C’est aussi une oreille attentive, les filles ne diront pas le contraire. Bon pour ce qui est du darkside de Jéjé, c’est qu’il s’endort nu dans les toilettes (eh oui, pas évident) ou sinon, on l’y retrouve de temps en temps entrain de bouffer. Enfin, quand il est bourré, il est du genre à faire des monologues d’une demi-heure, pour le grand plaisir de son entourage.

 

Duygu (Dougdoug), est l’Erasmus fantôme du kot. Cette Kosovare en ingé civil a eu le plaisir de trouver sa chambre inondée en début d’année. Cette grande absente du projet, suscite des interrogations quant à sa potentielle participation à des photos de charme, affaire à suivre…   

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