Alexandre

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« Salut, Salut » : voilà Alex qui débarque dans le commu !

Alex, ou comme il aime se faire appeler « The Gator », c’est au Carpe ce que le chocolat est au merveilleux : c’est déjà délicieux comme ça, mais pourtant sans lui, c’est toute une Trademark qui disparaît… .

Ce style, c’est la « Gator’s touch ». Ne cherchez pas au dictionnaire les filles, ça n’existe pas encore. Non, la Gator’s touch, tzu vois, c’est une délectation simili-naturelle de parler de sa fabuleuse et généreuse personne, accompagnée d’un décorum adéquat : les petites lèvres pincées, le sourire charmeur, le tout ponctué en fin de phrase d’un « princesse » (on s’entend : ceci adressé à la gente féminine). Non, toi, derrière ton écran, arrête ; n’essaye même pas de l’imiter.

Seul Alex est la Gator’s touch.

Mais d’où sort-il tout ça, notre cher Alex ? Peut-être du Texas, où il a été délocalisé au premier quadri (car Alex attire aussi sur lui la tempête). En plus d’y adopter la mode Cow-boy et l’horrible accent américain, il s’est mis au Corned Beef (idéal pour finir maillot jaune, paraît-il). Sans doute ses études : maintenant diplômé en sciences-éco, Alex va sûrement aller travailler dans une de ces grosses boîtes qui donnent des voitures de société. Vénal me direz-vous ? Non. C’est juste pour s’assurer que la prochaine fois, les restes de bouffe du souper commu tomberont sur SA voiture. En tout cas, il ne tire certainement pas ça de sa Princesse, sa Patronne, celle devant qui Alex fond et devient méconnaissable, quasi, comment dire, … humble.

Responsable Campus au kot pendant le deuxième quadri, il était « toujours prêt » (quand je vous disais que ça n’arrêtait pas) à nous pondre une news intéressante sur cette chanteuse flamande dont j’ai oublié le nom mais qui nous a représentés comme une merde à l’Eurovision cette année. Hum, il a surtout réussi, en bon entertainer qu’il est, à nous présenter à son cercle très privé d’amis : le Pilote, le Footballeur américain et Brokeback. Oui je sais, tout ça fait un peu village people, mais cette année au carpe, c’est de plus en plus bang bang… .

Non, mais bon, il faut arrêter là. Alex, c’est un homme, un vrai. Un comme on en fait plus depuis les années 70. Un qui est prêt à déclarer sa flamme par mail à sa belle-maman (et même aussi à la représentante des ressources humaines de Delta-Lloyd - entre nous, très mauvaise pub). Un homme généreux, avec un cœur énorme et qui a tout à donner aux autres. Non, non Lorraine, ceci n’est pas une déclaration cachée, bien emballée dans un joli bocal. Car comme il aime le dire lui-même avec ces quelques mots, Alex c’est que du bonheur :
Gator sera toujours là, pour chacun de nous
Un jour ou l'autre, n'importe où!
Quand il vous approchera,
Qu'il vous tendra les bras
S'il vous plaît, ne le repoussez pas
Car s'il se trouve là, peut-être qu'il ne restera pas!