Cath

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Catherine… voilà 2 ans qu’elle a revêtu un pull à poisson rouge et fait partie de l’aventure Carpestudentem, on commence à la connaître ! Elle est grande on l’a dit, elle est brune on l’a dit, elle aime l‘histoire de l’art on l’a dit, elle a un grand lit on l’a dit,…. L’heure est venue de vous dévoiler la vérité :
Ce n’est pas de gaieté de cœur que nous vous faisons part de ces informations ô combien poignantes et…douloureuses. En fait… C’est une cath-astrophe !

Hé oui..... Notre pauvre liégeoise ne sait plus ou donner de la tête : répondant à la fonction pas toujours commode de Vice pré, il n’est pas toujours facile pour cette cathwomen d’apprivoiser la bande de piranhas que renferme ce kot ! Commitarde à L’AEDL, ses journées défilent à toute allure entre organisation des sports d’hiver (ouhh…. Shame on you, après des début périlleux sur les pistes d’Orcières, voilà que Madame va skier en col blanc !) et permanences bar, pour son plus grand plaisir ! Rajoutez à cela un mémoire (à défaut d’une… surtout les jeudis !) ;-) et une vie sociale animée (ainsi qu’un certain MAFieux qui vient souvent lui rendre visite rr rrr!) et vous comprendrez que si vous désirez lui parler, mieux vaut prendre rendez vous!

Comme si ce n’était pas assez, la grande Catherine est également très capricieuse : la penne liégeoise ne lui suffisait pas, elle a décidé de passer sa calotte en ce premier quadri ! (quel souvenir ! ah non…. pas de souvenirs en fait) :-p

Mais malgré toutes ces activités des plus débordantes, Cath est là (ou çath?) elle est toujours souriante (sauf quand la cuisine est sale) et disponible (sauf quand.. voir ci dessus).. !!

Et c’est ainsi que tout en restant fidèle à ses ardentes origines, Cath devient de plus en plus une vraie néo-louvaniste qui veille à maintenir un certain taux de popularité (il suffit de regarder les photos de sa chambre, quand elle pose avec un ami en vacances par exemple.. (un certain, comment déjà ? heu…Benoît ? En tout cas je sais qu’il aime le vélo et les magnolias…!) Vous en conclurez vous même que, on peut le dire, Cath a la Kot !