Pour lui, tout a commencé à Bonlez, puis petit à petit il a intégré le Carpe pour devenir aujourd’hui celui qui connaît le plus de générations de petits poissons. Cela ne fait que deux ans que nous le comptons parmi nos externes pourtant, avant d’occuper vaillamment ce poste, il s’attelait déjà depuis quelques années à différentes bricoles du kot.  

Carac’, c’est un grand homme. Il compte plus d’une corde à son arc.

Notre ingénieur civil en construction n’a pas choisi ses études pour rien. Et oui, il possède déjà tous les outils indispensables à ses futurs chantiers. Foreuse, scie, tournevis, marteau, … vous trouverez tout chez lui. Et les outils qu’il détient, il sait les manier d’une main de maître. Il l’a encore prouvé en s’occupant des arbres qui avaient trop poussé cet été, en replaçant l’effigie du Carpe au dessus de la porte du kot.

Bricoleur hors pairs, Carac’ s’essaie aussi à l’escalade. Tous les ans, aux 24h vélo, il se munit d’un baudrier. Comme un poisson dans l’eau, il se cramponne pour accrocher des colseçons afin de fixer l’écran géant.

Tout grimpeur est amateur de cascades … notre cher Norris n’échappe pas à cette règle mais c’est plutôt lors de nuits bien arrosées qu’il pratique ce genre de sport. Depuis l’année dernière, il s’entraîne à chaque retour de guindaille sur le mur de l’ILV. Durant un an, c’est avec succès qu’il ramène un bout de brique arraché par la seule force de son arcade sourcilière. Mais, les accidents arrivent même aux meilleurs … le mur a eu raison de lui ! Au bout de compte, 7 points de suture et une paire de lunette en moins.

Et si Guillaume n’est plus cascadeur, il reste encore et toujours le Recordman des surnoms : Carac’, Bûcheron, Carac’ Norris, C. Norris, Norris, Warrior, Superman, Batman, …

Mais attention … ne vous méprenez pas … ! Sous son physique d’homme de fer se cache un homme souriant et attentionné. Car c’est avec un sourire jusqu’aux oreilles et sa nouvelle boite à tartine (enfin presque, elle a déjà un an) que Carac’ vient saluer de la main ou de l’index ses poissons qu’il affectionne tant.