Don Brazil

Image édito

[NDA : je devais revoir ce bocal mais je le trouve plus drôle sans le comprendre et tellement pompeux. Affreuse lecture à vous, vous comprendrez peut-être, moi, j'étais trop fatigué.]

Maxos, Maxos… Ce gros poisson qu’il m’est arrivé de pêcher.

Il est 2h59 du matin et l’on vient de fêter l’anniversaire de Stéphane Pauwels. Il me reste encore à décrire ta fulgurante ascension jusqu’au CarpeStudentem alors que ça fait presque dix ans qu’on zone ensemble. De fait, que puis-je dire sur toi ? Je pourrais commencer par nos débuts au Lycée Martin 5, où chacun nous suivîmes un parcours différent sur lequel tu préféras suivre le latin et les maths intermédiaires, alors que je suivis les sciences et les maths fortes. Au final, après notre parcours post humanité, nous nous retrouvons dans la même année, partageant notre amour (pour le pognon, soyons honnêtes) de l’ingénierie de gestion.

Je pourrais à présent vous parler du gars que j’ai connu  pendant les nombreuses années où j’ai eu la chance de le côtoyer, mais il me semble que cela serait plutôt malvenu (comme les photos que vous retrouvez sur notre site) et je pense qu’il  vaudrait mieux que je vous parle du Maxos actuel. Mine de rien, ce petit gars chez qui on avait commencé les célèbres Lundi du Whisky (faites pas genre, vous voyez exactement de quoi  je  veux parler), dispose d’autres flèches à son arc.

J’ai peut-être oublié de vous le préciser mais cette année, Maxos reprend le post d’EVENT, c'est-à-dire que ce mec nous organise (accompagné de son homologue) des w-e de kot, des projections du film des 24H vélo (à grand succès, il faut le dire et de plus en trois séances).  Et puis il a aussi donné quelques coups de fil pour louer l’écran des 24h (que vous avez trop kiffé, il était quand même de qualité supérieur, comme le jambon). Il sait aussi comment louer des auditoires (atout non négligeable) et davantage il s’occupe de vous louer notre matériel (financé par mes soins) à des prix ultra démocratiques: appareil photo, caméra, dictaphone… Maxos s’occupe de tout ! Sans oublier que les EVENTs du kot sont d’excellents bouches trous et donc que dès que ça nous emmerde de faire quoi que soit, on peut compter sur eux pour rattraper le coup (vous êtes géniaux).

Il faut savoir que si Maxos s’est retrouvé EVENT après m’avoir cédé le poste le plus important du kot, ce n’est pas par hasard. En effet ce brave gaillard (Rémi tu bois) a passé de nombreuses années dans les bois de Dion Valmont à participer et organiser d’innombrables jeux avec ses scouts, accompagné du vendu d’actuel prési du kot (qui boit également, t’aurais pu me prendre direct enculé). Mais ce n’est pas tout. Les scouts c’est bien, ça passe bien sur un CV (OK, on peut dire que t’es sociable) mais depuis quelques années, avec ses bons potes des quatre coins du monde,  Maxos endosse la lourde responsabilité de GO où il s’occupe du bon déroulement (à merveille) de votre soirée.

J’aimerais terminer ma petite description du phénomène Maxos en l’agrémentant d’anecdotes croustillantes mais la déontologie de mon secteur m’en retient. Sachez tout de même que ce bellâtre italien à l’imposant menton pourra quoi qu’il arrive vous accompagner dans vos soirées jusqu’aux plus petites heures du matin lorsqu’il le décide. En effet cette année, Maxos se réserve pour vous accompagner lors des occasions les plus invraisemblables et ce jusqu’à ce que lui-même ait oublié comment il s’est retrouvé chez vous ? Heureusement, son cœur le guide à chaque fois jusqu’à la girl next door où il passe toutes ses nuits. Il est vrai que depuis plus d’un an, sa voisine de palier lui offre le confort et la stabilité de la parfaite ménagère. S’envolant de sa terre bruxelloise équipée de sa soubrette lors des fameux Lundis du whisky, cette petite fleur a su égayer sa vie telle la rose d’Antoine de Saint Exupery.

Il est maintenant 5h10 (ça va donc faire 2 heures que j’essaye de te décrire) et il faut que je clôture ce bocal sur quelques compliments (sinon il paraît que ça craint) Je terminerai donc ton bocal en rappelant à tout le monde que j’ai eu la chance de tirer et raconter la vie d’un de mes meilleurs potes et la mal chance de te connaître si bien que tout ne peut pas sortir dès le premier article à ton sujet. Néanmoins, tu restes le pote avec qui on peut parler de tout et n’importe quoi tout en se marrant même si c’est pas censé être drôle à la base, et c’est une qualité qu’on ne retrouve en général que chez nous. C’est une des plus belles et je suis on ne peut plus heureux de pouvoir la partager avec toi cette année !

Des bises, des baises, ton co-GO :

Normano !