Esther montre nous tes roploploplo...

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« Esther montre nous tes roploploploplo, tes roploploplo, tes roploploplo …». Ce petit air vous dit sûrement quelque chose. Eh bien oui sachez qu’il se révèle être le second cri de kot après « Les Sardines »  (bien sûr). Bref ! C’est sûrement par cette petite chansonnette que ce petit bout de femme au nom d’Esther alias Kest’ vous évoque quelque chose !

 

Fraîchement pêchée de cette année, Esther gère d’une main de maître son poste de rédac’ chef au Carpé. Au taquet sur les rappels sms « Pauline n’oublie pas ton édito » « ce soir vous mettez les valves »,  aucun oubli ne sera pardonné (« kap ou pas kap » peut-être ? ).

C’est au dernier palier avant le commu qu’elle a élu domicile (beaucoup trop loin aux yeux de son « keum » Gauthier). Entourée de ses palettes de Redbulls qu’elle distribue bien gentiment au plus affaiblis d’entre nous (mais ça chuuut faut pas dire !). Si un jour, bien imbibé au Carpé vous rentrez et faites causette dans le commu, prenez garde ! Pussycat entend tout et connais désormais vos moindres secrets !

Côté secrets justement … on n’en connait pas vraiment beaucoup de notre  Kest. Ce qui ne me facilite pas la tâche pour ce bocal. Les 3 pelles du souper du kaps furent sans aucun doute un exploit que tout l’monde attendait depuis bien longtemps (bienvenue dans le monde de Kaps ) mais qui fût malheureusement un peu trop furtif pour notre état trop avancé d’ébriété. Faut dire qu’avec son atout de charme de Namuroise, que dis-je de « Naninnoise » elle ferait tomber plus d’un scout passant par là pour ramener sa tente SNJ.

Son côté moitié Queen de la guindaille voleuse de chapeau (fait encore démontré hier), moitié princesse du non absentéisme au cours suscite toute mon admiration pour savoir aussi bien jongler avec ces deux arts. (nonjenesuispaslècheculpourchoppertesnotesdegéopol).

Sa bande de potes historiens qu’elle met parfois de côté au profit du Carpé,  lui vaut des lourdes représailles qui l’obligent à aller traîner en bib pendant des jours pour se faire pardonner d’être une si bonne kapiste. Faut pas croire, mais en histoire ça bosse sec ! Et même si Esther changera de cap pour les sciences po (qui est un meilleur parti évidemment), ça ne l’empêche pas de mettre beaucoup de cœur dans ses études (surtout pour l’Antiquité qui est sa période préférée, n’est-ce pas ?)

En deux mots, Esther toujours pétillante et dispo (comme un bon Redbull) est un réel plaisir quotidien au sein du 12 rue de l’Hocaille.  

Je terminerai par ces mots « tout vient à point(er) à qui sait attendre », alors nous attendrons pour tes roploploplos !