Max

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3 ans de plus pour draguer, un petit air américain ou espagnol pour se sentir irrésistible, spaghetti bolo ratés, spécialiste des pizzas « ristorante », habitant au sommet du Carpe, champion du dragueur menteur, … Pour ceux qui ne l’auraient pas encore reconnu, … j’ai dénommé, notre très cher et grand … MAX

Max, c’est notre cadet et on pourrait croire que s’en est devenu une frustration. Au début de l’année, son jeu favoris quand une tournée des KAP’s passait ou quand une inconnue il rencontrait, était de demander : « Tu crois que j’ai quel âge ? » ou « Donne moi un peu un âge STP ! » Et là, quand on lui répondait ce qu’il voulait entendre : « Tu dois avoir 21-22 ans », Max se redressait, fier comme un paon, sourire jusqu’aux oreilles en nous regardant … « Vous voyez que j’ai l’air crédible à la petit casa !». Tiens justement, parlons-en de la petite casa … qui n’a pas encore vu Max lors d’une petite casa ? Une fois la nuit tombée, et surtout quand il monte dans les hauteurs de la ville, Max se munit d’un don extraordinaire : il se métamorphose. Une fois en Texan, une autre fois en Espagnol, et c’est là qu’il perd toute sa crédibilité … car en effet, Max a aussi le don des langues : un accent presque comparable aux natifs (ou pas).

Max, c’est aussi LE cordon bleu des plats ratés du kot. En effet, quand on parle de cuisine, Max est le vainqueur de sa catégorie. Mangeant tout et n’importe quoi, ignorant l’existence des recettes culinaires, ce cher monsieur réussit à rater des pâtes à la bolognaise. Il vous dira que ce n’est pas entièrement de sa faute parce ce soir-là, sa chère co-kotteuse (aussi douée que lui) avait oublié de lui dire de mettre plus d’eau dans la casserole.

Max, c’est aussi un changement radical à la semaine 10. Parce que outre toutes ces anecdotes, et là je m’adresse aux filles qui liront ces lignes, Max, c’est la Grande Dis du kot. Alors ce diction, il le respecte à la lettre : « Semaine 10, tu bosses ou tu bisses. »

Max, c’est aussi un sportif à ces heures perdues surtout quand on parle du Mundialito. Il devient alors un footballeur hors pair qui n’hésite pas à donner le meilleur de lui-même quand il joue pour le Cesec, son cercle favori où il a connu les déboires estudiantins.