Autres

Le Levant

Nos amis du Levant sont situés dans la rue des Blancs chevaux, avec pas mal de vilains de part et d'autre : les cercles et régionales d'un côté (avec nos amis chers Kajiens) et les CSE de l'autre. Pourtant, ils cachent bien leur jeu dans ce monde d'effroi et d'insomnies...

Avant même de faire le premier pas dans leur humble demeure, vous êtes frappé par le Levant : il y a une bouteille d'eau accrochée à  une fenêtre qui pend à côté de la porte. Les pleins morts de Louvain s'en voient rassurés : il fut un temps où c'était de l'encre de stylo pour les dissuader de boire dans la première bouteille venue. À ce jour, aucun accident n'a été recensé. Touchons du bois.

Ensuite, si tu as le bonheur d'entrer dans leur kot, tu pourras voir de tes propres yeux un KAP à l'état originel : tout propre, presque neuf, les couloirs bien rangés (avec une impression de moquette sur le sol), la peinture bien propre. Le commu est dans la même lignée.

Mais au fond, qui sont ces gens, qui mettent en valeur le travail des pensionnaires de l'Arche, maison qui tente (avec succès) d'insérer les handicapés dans notre société où c'est la loi de la jungle qui prime avant tout.

Il y a Pierre, le président de cette année, qui ne sait plus où donner de la tête avec ses cours du soir, son master, sa fiancée ? Félicitations !

Mais aussi :

- Christophe, le président de l'an prochain qui a la particularité d'être le seul membre de l'équipe à rester. Bien singulier ce personnage, puisqu'il est en première première et qu'il est déjà dans un KAP : une longue carrière kapiste l'attend peut-être. Les pistons au Levant, on connaît.

Ce n'est pas Robin, le copain de Clémence qui va nous contredire. Cette dernière, une expatriée qui est venu chez nous pour apprendre la logo (ou orthophoniste c'est selon) a aussi apporté aux membres du kot son critérium, utile pour écrire des évidences : la glace est froide... Passons.

Un critérium peut aussi s'appeler un pousse-mine, mot dans lequel on retrouve le pragmatisme cher aux Québecquois.

En effet, Marwa est une des deux erasmus qui peupl(ai)ent le kot ce quadri ci. Elle a apporté un véritable vent de fraîcheur avec son dialecte très particulier : chandail, coton-ouatté, calorifère. Il paraît que ses poutines sont un véritable délice, avis aux amateurs.

L'autre Erasmus est Marko, un Slovène épatant : moins d'un quadri passé à LlN et il est déjà presque bilingue. De plus, il n'hésite pas à flamber lors des repas commus, ou à faire des repas commus tout seul en blocus. Plutôt sympa le garçon, vous en conviendrez. (N'ayez pas peur s'il vous ouvre en pénoir...)

Sinon il reste Florence, l'ingénieure civile du kot. Sachez, messieurs, qu'une fille en ingénieure ça sait se faire respecter, au travail comme à la maison. Elle parvient à tenir en respect nombre de ses cokotteurs.

Autre phénomène féminin du kot, Géraldine. Cette ancienne pensionnaire du KAPSLA est écolo jusqu'au bout des ongles. la légende rapporte qu'elle conserve les miettes de pain pour un jour les utiliser à Dieu-sait-quoi. De plus, Gare à celui qui ose allumer deux frigos dans le kot. Elle tient les cordons du compteur d'électricité d'une main de maître.

Ensuite, last but not least, il y a Ombeline, une autre logo qui passe sa vie à manger des chips et à étaler du caca sur ces tartines... Comprenne qui pourra.

Sur ce, je vous souhaite un bon blocus pour ceux qui en ont un...

Commentaires

C'est mieux directement sur l'application ! Essaie-la !